L’ennéagramme décrit neuf manières différentes d’aborder le monde, et en conséquence neuf manières très différentes d’interagir avec celui-ci. Ennea signifie 9 en grec.
Chacun des 9 ennéatypes a ses forces, ses faiblesses. Chacun de nous privilégie certaines informations et en laisse d’autres de côté, d’une manière inconsciente, se limitant à une version de la réalité. Ne dit on pas en PNL que la carte n’est pas le territoire.
L’ennéagramme met en lumière ces peurs irrationnelles plus ou moins inconscientes et une « compulsion », une volonté farouche d’éviter à tout prix ce dont on a peur. Cette compulsion va structurer 9 schémas de personnalité et les rapports avec les autres. C’est à dire la manière de se comporter, la manière de communiquer, les attentes, les motivations.
Cet outil de développement personnel permet de mieux se connaître. Il permet de se libérer de certains automatismes parfois limitants, et ainsi d’améliorer ses relations interpersonnelles et son Bien Etre.
L’ennéagramme est aujourd’hui une unité d’enseignement (UE) dans le MBA de Standford (1994), un des diplômes commerciaux les plus cotés outre-atlantique. Mais aussi dans d’autres universités américaines (Chicago …) et canadiennes, ainsi qu’en France à HEC. Sa reconnaissance n’est plus à démontrer.