Test du lâcher prise
Test du lâcher prise
Partant du livre de Guy Finley
test du lâcher prise
Contrôler les éléments extérieurs ou changer !
Certaines personnes croient fermement et s’efforcent de nous faire croire que leurs problèmes émotionnels ont des causes extérieures. d’autres en rejettent le blâme sur l’alimentation, leurs vies antérieures, l’hérédité, le milieu familial ou la pollution de l’air.
Le lâcher prise ne requiert pas de force, mais la volonté d’en constater la nécessité.
N’essayez pas de changer le monde qui vous entoure. Changez plutôt votre attitude et votre point de vue.
Notre idée du bonheur est le plus souvent la cause même de notre malheur. Le bonheur vient à ceux qui comprennent qu’on ne peut pas plus le conquérir qu’on ne saurait conquérir l’air qu’on respire. Le bonheur fait partie de la vie, et on le trouve en vivant.
Ainsi, lâcher prise, ce n’est pas que se relaxer. Cette approche souple de la vie demande du courage. Elle invite à vivre pleinement chaque moment, sans se raccrocher au passé ou aux réflexes connus, sans se crisper.
Cela commence par devenir conscient vos émotions face à ce qui arrive et pouvoir les exprimer.
Devenir également conscient de l’absurdité de vouloir contrôler sur ce que vous ne pouvez pas changer ou influencer. Devenir conscient de toute la perte d’énergie et de bien-être que représentent le perfectionnisme, l’acharnement, l’hypersensibilité et la peur de l’inconnu.
Les 3 principales dérives du lâcher prise
C’est ressentir tout très fort. La moindre contrariété est vécue comme une blessure, qui entraîne une surchauffe mentale et émotionnelle. C’est se repasser le film en boucle jusqu’à épuisement. Leur entourage les incite à passer à autre chose. Ils aimeraient bien, mais ils ne savent pas comment fermer le petit cinéma dans leur tête et réguler les émotions qu’ils produisent.
C’est ne rien laisser au hasard. C’est anticiper, mettre en place des stratégies, calculer, multiplier les plans de secours. Sa fierté est de ne compter que sur soi-même. C’est éviter de demander de l’aide, préférant miser sur ses compétences, ses ressources et surtout sa volonté. Pour eux, lâcher prise, c’est se résigner. Ils sont de ceux dont on dit qu’ils ne lâchent rien, qu’ils se battent jusqu’au bout, quand il aurait fallu, parfois, passer le relais ou abandonner.
C’est tenir à ses rituels, à ses croyances, à son environnement famillier et sécurisant. Rien ne les rend plus anxieux que l’imprévu et la nouveauté. Mais pour qu’une situation se dénoue et que le changement puisse advenir, il faut consentir – c’est aussi cela le lâcher prise – à faire place à une part d’inconnu. Et c’est contre cela qu’ils résistent, en s’accrochant à ce qu’ils connaissent. Leur façon de penser, d’agir et de réagir.
Lâcher prise
Lâcher prise ne veut pas dire renoncer. Au contraire, cela signifie progresser, se libérer de poids inutiles et parfois même changer notre façon de percevoir les choses.
Le lâcher prise c’est n’avoir aucune difficulté à faire marche arrière, à renoncer, à demander de l’aide ou à se mettre en retrait le temps d’y voir plus clair ou que les circonstances soient plus favorables.
Ou alors c’est apprendre à le faire le plus souvent possible.
Le best-of des autres tests les plus utilisés:
- Test des schémas de Young
- Test du sous-type Ennéagramme
- Les Tests d’analyse transactionnelle
- Test du Borderline
- Test du pervers narcissique
- Le Test du passif agressif
- Test de l’affirmation de soi
- Test de l’ennéagramme