Le principe de l’ennéagramme
Le principe de l’ennéagramme d’après fred Lacroix – Sept 2021
- Intro
- Qu’est-ce que la personnalité: Prince/Crapaud/Masque
- 9 profiles de personnalité
- Principe de l’ennéagramme
- Conclusion
Introduction à l'ennéagramme
Outil de développement personnel, l’ennégramme apporte un éclairage sur sa personnalité et celle de ceux qui nous entourent.
A l’origine, l’Ennéagramme désignait une figure ésotérique qui fut utilisée par le célèbre (et mystique) philosophe du début du XXème siècle, Georges Gurdjieff. Mais au fil du temps, le concept évolue et c’est dans les années 1970 que le concept est entérinée comme étant une véritable méthode de développement personnel, devenant “l’Ennéagramme des 9 types de personnalité” à l’initiative d’Oscar Ichazo et de Claudio Naranjo.
L’Ennéagramme est un système d’étude de la personnalité fondé sur neuf comportements type de l’être humaine. Cette typologie est représentée par un diagramme à neuf branches, (d’où son nom). « Ennéagramme » est issu du grec ancien έννέα (neuf) et de γράμμα (lettre, symbole).

Chaque profil dispose d’une motivation bien spécifique et d’une peur associée qui vont engendrer des comportements, des traits de personnalité et des émotions caractéristiques.
Attention à ne pas tout prendre à la lettre et à ne pas s’enfermer dans des cases. L’ennéagramme est justement utile pour prendre conscience de comportements automatiques, qui eux sont enfermants. Cette prise de conscience permet donc de sortir de “sa” case et d’agir en pleine conscience, en liberté de choix.
Intérêts de l’ennéagramme
- Accessible à tous, tout en étant profond pour ceux qui veulent aller loin
- Universel, même s’il est très utilisé dans les pays anglosaxons, il est maintenant présent dans le monde entier.
- Libre, cet outil appartient à tout le monde et n’est pas limité à 1 société
- Dynamique, il est situationnel
Son utilisation
Le développement personnel
- Mieux se connaître
- Développer son potentiel
- Mieux comprendre le point de vue des autres (couple, enfants, amis, collègues ..)
Le développement professionnel
- Accompagner / Coacher
- Manager (situationnel)
- Améliorer son leadership
- Améliorer la cohésion d’équipe
- Gérer les conflits
- Gérer le changement
Pour en savoir plus
Qu'est-ce que la personnalité ?
La personnalité est une combinaison de caractéristiques émotionnelles, de croyances et de comportements d’une personne. Il est difficile de trouver une définition commune de part l’amplitude des théories et modèles. Néanmoins il existe au moins deux courants principaux ; la théorie des types et la théorie des traits (pour en savoir plus sur les théories de la personnalité). L’ennéagramme fait partie de la première approche; les types de l’ennéagramme.
Le prince, le crapaud et le masque
Pour expliquer le concept de la personnalité, je vous propose la métaphore de Carlo Moïso, psychothérapeute italien du XX°s, grand nom de l’analyse transactionnelle.

C’est l’essence d’une personne (EN)
- avec ses désirs et besoins
- avec ses ressources (exploitées ou pas)
La mission du « petit Prince » ou de la « petite Princesse » est de grandir. Il (elle) deviendra roi ou reine.
Mais le monde a ses contraintes
et le prince apprend les (ses) limites. La personnalité se forme pendant l’enfance, et l’enfant n’a pas toujours le recul nécessaire pour analyser les situations rencontrées. Carlo Moïso parle des 4 cavaliers de l’apocalypse (les 4i).
- L’Inadéquation : manque d’amour, d’attention, de reconnaissance, inconfort… : ce qu’il voudrait n’est pas ce qu’il obtient.
- L’Injustice : le Prince prend conscience qu’il n’est pas seul sur terre et que certains obtiennent plus et mieux que lui.
- L’Imprévisibilité : accidents, agressions, licenciement… premiers traumatismes inattendus.
- L’Inéluctabilité : la mort, la maladie…contre lesquels il ne peut rien.
Face à certaines situations, le prince / la princesse va se construire des croyances négatives sur SAM (Soi, les Autres et le Monde).
“Ce n’est pas bien (pas OK) d’écouter ses émotions, son corps”. “Il ne faut pas faire de bruit pour ne pas déranger les autres, ne pas trop montrer sa joie, …”
Quand ces messages deviennent répétitifs, on parle de messages contraignants. En analyse transactionnelle on parle de drivers. “Sois fort”, “Fais plaisir”, “Sois parfait”, “Fais des efforts”,…
Inadéquation perçue
A force, le prince va accepter une sorte ‘d’inadéquation” personnelle qui pourra le limiter dans le futur.
Le crapaud représente donc les croyances négatives et profondes qui lui permettent d’interpréter le monde, lui donner un sens et de s’y adapter.
Mais c’est une partie de sa personnalité que le prince va essayé de cacher. Une espèce de culpabilité sur son inadéquation perçue.
Face aux contrainte du monde, et afin de réaliser ses désirs et remplir ses besoins, le prince / la princesse va alors adopter un masque.
Le masque représente ses croyances sur son attitude sociale à adopter. Ce masque lui permet:
- de cacher son crapaud intérieur (et ses inadéquations perçues)
- de construire son appartenance sociale (apparences; habits, carte de visite …)
La construction du Masque est inconsciente. Mais ce masque apporte un sentiment de sécurité. D’ailleurs il est souvent gratifié de signes positifs de reconnaissance de la part de la société.
Très souvent, le Masque est perçu comme authentique par le prince / la princesse.
Persona
Finalement, connaissez-vous l’étymologie du mot personnalité ?
Persona: ce terme désigne le masque de théâtre antique, qui était l’interface entre l’acteur, son rôle et le public.
La personnalité va donc être un mélange de son prince / sa princesse, son crapaud et son masque. C’est ce que j’appelle le modèle V.Dic?
Vision : Ce que je pense être
Désirs : Ce que je voudrais être
Idéal : Ce que je devrais être
Culture : Ce que je dois être
Ce que je suis (?)
Apprendre à identifier son prince derrière le crapaud et le masque demande de l’introspection. Apprendre à identifier le prince chez vos interlocuteurs ou proches demande de la bienveillance.
Ennéagramme
L’ennéagramme va permettre de faire le tri parmi cette trilogie identitaire. Si chacun de nous se considère unique, néanmoins chacun de nous se considère aussi normal. C’est à dire répondant à des normes, des comportements acceptés et bienveillants.
Ces comportements peuvent être regroupés en 9 personnalités. L’ennéagramme parle de 9 ennéatypes.
Ces comportements peuvent être automatiques. Certains sont plus ou moins conscients. Vous n’y faites plus attention. Certains peuvent même être limitants.
C’est la prise de conscience de ces comportements qui nous amène vers notre essence. Un moi plus conscient, plus flexible et plus autonome.


9 profiles de personnalité
Toutefois, il est important de ne pas faire de raccourci ou de schématiser les individus et leurs personnalités. Comme pour le test MBTI, chaque individu possède les neuf profils de l’Ennéagramme en lui, mais ne les développe pas tous de la même manière.

Motivation : la perfection
Peur : les erreurs / sa propre colère (frustration)
Les personnes de profil 1 recherchent la perfection, elles visent l’excellence. Leur implication sans limite et leur droiture peuvent être perçues par les autres comme de la rigidité ou de la froideur. Toutefois, leur sérieux à toute épreuve en fait de véritables modèles à suivre.
Sa quête personnelle ? Apprendre à être indulgent et patient envers lui-même et les autres.
Motivation : l’amour / aider les autres
Peur/évitement : reconnaître ses besoins
Tourné vers les autres, le type 2 est débordant de bienveillance. Au point parfois, de s’oublier en chemin : sa compulsion à lui, c’est de ne pas prendre en compte ses propres besoins. Très sensible à la reconnaissance de ses pairs et plutôt bien au fait de ses qualités, l’altruisme peut devenir orgueilleux.
Bénéficiant de réelles aptitudes pour comprendre les besoins d’autrui, il est vu comme une personne chaleureuse, souvent de bon conseil et protecteur, d’une grande amabilité… et parfois, légèrement intrusif.
Sa quête personnelle ? découvrir les joies de l’humilité et ses besoins.
Motivation : la réussite
Peur : l’échec
Très actifs, soucieux de trouver les meilleures solutions, les personnes de profil 3 se caractérisent par leur capacité à réussir et à relever tous les défis. Très attentifs à leur image, ils se construisent au travers de leurs succès et leur image. Séducteurs sur le plan social, ils sont parfois considérés comme des baratineurs.
Derrière leur ambition et leur sens de la compétition peut se cacher une fuite compulsive de l’échec.
Sa quête personnelle ? rester authentique sous ses divers déguisements.
Motivation : l’authenticité / l’idéal
Peur : la banalité
Mené par sa sensibilité, le profil de l’artiste (ou Romantique) déteste la routine. Il cherche le beau et l’extraordinaire partout où il va. Il peut vite se retrouver à éviter la banalité par dessus tout. Son côté obscur ? L’excès d’envie : du beau, du différent, du mieux.
Le type 4 est créatif et imaginatif. Il est généralement connu et reconnu pour son goût inné de l’esthétique. Côté émotions, il oscille entre des moments d’euphorie et des moments de mélancolies introspectives.
Sa quête personnelle ? accepter qu’il en faut peu pour être heureux.
Motivation : la connaissance
Peur : le vide intérieur
En retrait, l’observateur cherche à comprendre ce qui l’entoure. Il décortique et analyse les moindres détails, ce qui peut devenir une manière d’éviter de se retrouver seul avec ses pensées.
Calme, réservé voire introverti, il peut être perçu comme dédaigneux.
Sa quête personnelle ? paratger son savoir et ses émotions
Motivation : la loyauté
Peur : la déviance
Le loyaliste est mu par son sens moral. Mais ici il s’agit de ce qu’il estime bon pour lui et ses proches plutôt qu’en général. Sa peur ? Celle d’être trahi. Le loyal vous suivra jusqu’au bout du monde… s’il ne cède pas à cette fameuse peur.
Généralement, il n’aime pas attirer l’attention sur lui et préfère se fondre dans la masse. Le type 6 s’épanouit majoritairement dans un groupe de confiance.
Pour autant, la plupart des personnes de profil 6 sont anxieuses et peuvent manifester une agressivité passive.
Sa quête personnelle ? Faire preuve de courage et arrêter de douter de tout.
Motivation : le plaisir
Peur : la souffrance
Toute la vie de l’épicurien est tournée vers le désir, l’envie, l’envie d’avoir envie. Optimiste, sociable et enjoué, le type 7 n’est pourtant pas qu’un kiffeur : il planifie les choses pour en profiter au maximum. À cause de sa tendance systématique à fuir toute contrainte et inconfort, il peut être excessif.
Il a souvent “une idée à la seconde” et plein de projets qu’il ne mène pas toujours jusqu’au bout.
Sa quête personnelle ? serait alors celle de l’équilibre.
Motivation : le contrôle / le pouvoir
Peur : la faiblesse
Indépendant, le leader adore le contrôle. C’est un être d’action qui prend des initiatives au quotidien pour son intérêt comme celui de ces proches. S’il a tendance à verser dans l’excès, sa stratégie d’évitement tend à fuir la vulnérabilité.
Le type 8 est reconnu pour son énergie et son courage. Sa vie n’est qu’une succession de combats et son rôle consiste principalement à faire front tout en protégeant sa famille. Dans le cadre professionnel, ce sont souvent des dirigeants qui brillent par leurs capacités de décision rapide et leur gestion des risques. Mais cette assurance peut être perçue comme excessive voire tyrannique.
Sa quête personnelle ? accepter de montrer ses propres faiblesses
Motivation : l’harmonie / la paix intérieure
Peur : les conflits
Le médiateur (ou diplomate) est reconnu pour son ouverture d’esprit et sa tolérance, mais aussi son agréable compagnie et sa qualité d’écoute. Il aime les ambiances harmonieuses et ce même dans le cadre professionnel, mais son calme peut le faire passer pour une personne peu impliquée voire paresseuse.
Cette tendance à avoir du mal à s’affirmer peut le conduire à l’inaction. Cette peur du conflit le conduit à avoir du mal à choisir, à dire non et donc à procrastiner.
Sa quête personnelle ? apprendre à s’aimer autant qu’il aime les autres et à agir
Compulsion : Peur / évitement
Voici pour exemple le profile de Stéphane, qui est un type 7.

prenons un autre exemple
Pierre, Paul, Amandine et Sylvie font du type 9

Ce n’est pas parce qu’une personne fait du type 9, qu’obligatoirement elle présente toutes les caractéristiques d’un type 9. Ce qui réunit tous les ennéatypes 9 ? C’est leur peur viscérale du conflit. Personne n’aime les conflits. Mais pour un type 9, cela sera le critère prioritaire qui lui dictera ses décisions. On parle de compulsion.
Mais une personne qui recherche son ennéatype a une conscience limitée de sa compulsion. Aussi elle va plutôt se concentrer sur les caractéristiques comportementale d’un ennéatype.
C’est une des raisons pour laquelle certaines personnes ne se reconnaissent pas à 100 % dans la description de leur ennéatype. Et c’est normal.
- La personne est consciente et à l’aise avec certains traits de personnalité qui ne la caractérisent pas (ou plus). On dira alors que la personne est intégrée.
- D’autre part, chaque personne est unique et est plus que la réduction de 9 profiles de personnalité.
- Enfin, néanmoins, est-ce que cette personne est bien consciente de tous ces comportements ? de sa compulsion ? Dans ce dernier cas, il n’est pas toujours facile d’accepter une facette inconsciente (Le crapaud ?, le masque ?)
Attention, à ne pas mettre les gens dans une case.
C’est tout le contraire de l’éthique et de l’intérêt de l’ennéagramme.
Par exemple, le type 9 est connu pour son avarice cognitive. Il aime les choses simples, l’harmonie. Il déteste les conflits (encore plus que tout le monde).
Nous avons effectué une étude en juin 2020 (en savoir plus sur cette étude). Si le type 9 se distingue en général par son avarice cognitive, certains types 9 ont au contraire un fort besoin de cognition.
C’est la faible motivation à effectuer des efforts cognitifs (de réflexion):
- j’aime les choses simples
- je recours souvent à des raccourcis (heuristiques)
- je recours facilement à des comparaisons sociales
A l’inverse, le besoin de cognition c’est le Plaisir à s’engager dans des raisonnements. C’est toujours chercher à donner du sens à l’information. De la même manière, l’excès dans le besoin de cognition peut être tout aussi limitant que l’excès dans l’avarice cognitive

Amandine a beau faire du type 9, elle n’est pas un avare cognitif. Bien au contraire.
Chacun est unique et peut changer. Par contre on ne peut pas changer son ennéatype. On peut juste choisir de moins subir son influence, comme le font Amandine ou Paul.
Principe de l'ennéagramme
Comme nous l’avons vu, nous sommes constitués de croyances sur soi, les autres et le monde. En psychologie on parle de schémas cognitifs.
Ces croyances vont générer d’après l’ennéagramme des compulsions et des fixations qui vont caractériser chacun des 9 ennéatypes.
Par exemple, le type 3 pense que le monde ne reconnait que ceux qui réalisent des choses, ceux qui réussissent. Aussi sa compulsion (ce qu’il doit éviter par dessus tout) c’est l’échec. Et sa fixation c’est sa recherche d’efficacité. C’est pour cela qu’on appelle le type 3 le performer ou le battant.
Ces compulsions et fixations vont concentrer notre attention sur certaines informations, au détriment d’autres. On parle de filtre d’attention. Par exemple le type 6 qui rentre dans une salle pleine de monde va diriger son attention sur tous les risques que représente cette situation. A l’inverse, un type 7 aura tendance à porter son attention sur l’identification du coin le plus sympa, où l’on a le plus de chance de s’amuser ou de prendre du plaisir. Les motivations sont différentes. Ce filtre s’effectue de manière automatique, inconsciente. La personne ne réfléchit pas à ce qu’elle fait. C’est devenu instinctif.

* attention à la théorie implicite de la personnalité: on a tendance à attribuer des traits de personnalité à quelqu’un, alors que la situation explique bien mieux le comportement.
Passions et Vertus de l’ennéagramme
Prendre conscience de ces comportements automatiques permet en fonction des situations des choix plus appropriés. Ne pas prendre conscience peut nous emmener vers les passions de l’ennéagramme. A l’inverse, la prise de conscience permet de développer ce que l’on appelle les vertus de l’ennéagramme.
Les 3 centres
Nous avons 3 cerveaux (théorie de Maclean) plus ou moins indistincts dont les préoccupations sont différentes et qui fonctionnent ensemble au sein de notre psyché. Nous traitons l’information de 3 manières différentes, plus ou moins conjointement. Ce que l’ennéagramme appelle les 3 centres.
- Le centre instinctif (cerveau reptilien) représenté par les types 8, 9 et 1. Il gère le présent.
- Le centre émotionnel (cerveau limbique, centre des émotions et de la mémoire) représenté par les types 2, 3 et 4. Il gère le passé.
- Et enfin le centre rationnel (le néo-cortex avec ses 20 milliards de neurones) représenté par les types 5, 6 et 7. Il gère le futur (anticipation).
Notre cerveau interprète continuellement. Il corrige les informations reçues sans que vous en soyez conscient. Il fait appel à notre mémoire pour rendre l’information plus logique. Lui donner un sens.
Le filtre d’attention
Notre cerveau gère des millions d’information. Nous ne pouvons faire le tri en pleine conscience. Les chercheurs estiment que notre cerveau gère 11 millions de bouts d’information par seconde. Notre part consciente est limitée. C’est la raison pour laquelle notre cerveau est équipé d’un système 1 et d’un système 2. Le système 1 simplifie, catégorise et est très rapide (Daniel Kahneman, prix nobel 2002) (En savoir plus). En cas de doute, d’incertitude, de risque, le système 2 va prendre la relève pour une analyse de l’information plus approfondie. Mais cela demande beaucoup d’énergie. Le système 1, qui est toujours actif, à l’affut de bien comprendre ce qu’il se passe va vite faire des propositions, créer du sens et mémoriser. C’est lui qui gère nos filtres d’attention en fonction de nos croyances.
Les conséquences de ce système 1 sont des modes automatiques plus ou moins conscients. Si dans le quotidien, il est très utile et même indispensable à notre survie, il peut générer des erreurs d’interprétation de l’information. Il est bien sur très sensible à nos compulsions. Cela explique que des fois nous ne sommes pas toujours très logiques, et générons des biais cognitifs. Nos croyances vont influencer notre quotient rationnel. Mais c’est une autre histoire. Pour en savoir plus sur ces sujets, je vous propose notre quizz sur les biais, de tester votre QE ou nos articles:
Conclusion
L’ennéagramme permet à chacun d’apprendre à mieux se connaître, d’appréhender ses modes de fonctionnement, d’identifier ses peurs, de trouver ses motivations mais aussi de cerner les gens qui gravitent autour de nous pour mieux interagir avec eux.
Même si de nombreux tests sont disponibles en ligne, rien ne remplace la compétence d’un coach diplômé qui saura vous accompagner dans cette démarche. En général, lorsqu’on découvre les 9 ennéatypes, il y en a toujours un qui nous parle plus qu’un autre. C’est très intéressant pour se révéler et se dépasser.
