Plusieurs définitions conceptuelles de l’estime de soi globale ont été proposés. Parmi celles-ci, celle de Rosenberg (1985) apparaît sans doute comme l’une des plus dignes d’intérêt. Selon Rosenberg l’estime de soi élevée est un indicateur d’acceptation, de tolérance et de satisfaction personnelle à l’égard de soi tout en excluant les sentiments de supériorité et de perfection. De plus, l’estime de soi élevée implique le respect pour soi-même.
Rosenberg différentie deux niveaux de respect. Soit les niveaux inconditionnel et conditionnel. Le respect inconditionnel suppose que l’individu se respecte en tant qu’être humain, indépendamment de ses qualités ou accomplissements. Alors que le respect conditionnel comporte une congruence entre les standards personnels de compétence, de moralité, d’excellence et les sentiments d’accomplissement à l’égard de ces standards. Selon Rosenberg, l’absence d’un respect conditionnel différentie la personne ayant une estime de soi élevée de celle possédant une faible estime de soi.
Enfin, des recherches récentes indiquent que les individus ayant une faible estime d’eux-mêmes sont plus susceptibles de ressentir des sentiments de culpabilité, de crainte de l’échec. Ainsi ils seraient plus vulnérables à différents problèmes psychologiques.
Une réponse
[…] L’estime de soi, qui relève de l’évaluation et de l’opinion. l’estime de soi concerne le fait qu’un individu se sente de valeur. Faire le test. […]